Véronique Thomazo
Auteure Photographe

Publications/Récomprenses

  • Publication du Portfolio « L’Ischia » dans l’Oeil de la Photographie – Juin 2018 – www.loeildelaphotographie.com
  • Publication du Portfolio « L’Essaouira » dans l’Oeil de la Photographie – Juillet 2017 – www.loeildelaphotographie.com
  • Publication du Portfolio « Jump&Hide » dans l’Oeil de la Photographie – Mars 2017 – www.loeildelaphotographie.com
  • 1er Prix Thème libre Noir&Blanc – Magazine Réponses Photo Mars 2017 –
  • Lauréate du plus grand concours PHOTO du monde magazine PHOTO Janvier/février 2017
  • Publication du Portfolio La Riviera dans l’Oeil de la Photographie – juin 2016 www.loeildelaphotographie.com
  • Publication Photo daily News : Summer 2016 dans l’Oeil de la Photographie – juillet 2016 www.loeildelaphotographie.com

Expositions

  • « My Umbrella » Palace Shop/Nice
  • « L’Emeraude » La Fonda/Dinard
  • « La Riviera » Badaboom/Nice
  • « La Riviera » Warehouse/Nice Mars – Juin 2017
  • « Glamorous » Deli Bo/Nice Janvier – Mars 2017
  • « La Riviera » Photo Menton 19 – 27 Novembre 2016
  • « L’Emeraude » au Yacht Club/ Dinard Septembre 2016 – Janvier 2017
  • « La Riviera » au Di Piu / Nice 2015 – 2016

Formations

  • Workshop avec Pierre Defaix juillet 2014 www.pierredefaix.com
  • Workshops avec jean Christophe Béchet www.jcbechet.com :
    Rencontres d’Arles – août 2014
    Paris – juin 2015
    Nice – octobre 2016
  • Workshop avec Sylvie Hugues www.sylviehugues.com
    Rencontres d’Arles – juillet 2016
  • Rencontre avec Anne Paounov Responsable du pôle photographie Centre Pompidou – Paris – juillet 2016 www.centrepompidou.fr

Parcours photographique

Dès l’enfance, j’ai passé des heures dans le labo photo de mon père à l’observer au travail, à m’émerveiller de la magie de l’image révélée par étapes. De cette époque je garde une fascination pour l’image en noir et blanc.

Plus tard :
J’ai voyagé dans le monde entier dès l’âge de 18 ans dans une volonté d’explorer. J’avais toujours mon appareil photo à la main. Il s’agissait d’appareils argentiques. J’ai collecté au fil des années (15 ans environ) des images de plusieurs pays.

Depuis 8 ans :
Mon goût pour la photographie est peu à peu devenu un travail, il s’est concrétisé et professionnalisé grâce à des stages entre autre (Rencontres d’Arles stages avec JC Béchet etc..), et j’ai progressivement défini un objet d’étude.
Ma cohérence s’inscrit dans des séries de 15 à 20 photos qui décrivent un lieu qui m’est cher ou qui m’inspire. J’ajoute dans le paysage le corps de la femme d’une manière sensuelle et poétique. Les séries construisent un rythme spécifique qui permet le dialogue d’une image à l’autre et un jeu de valorisations croisées.

J’aime aussi réaliser des séries ludiques et hors lieu.

 

Mes projets : je souhaite trouver un éditeur pour publier un livre avec mes séries. Des expositions sont en cours et à venir ainsi que des festivals où mes travaux seront présentés.

Mon Matériel : Un Canon reflex 600D et 6D, 4 objectifs, 18/124mm; 50mm, 30mm ( sigma ), 35 mm

Mes Tirages : Papier Canson fineart Baryta /etching – Rag coton BFK Rives – Format 40/60 cm – 29,7/21 cm -majoritairement.

Mes influences : Bill Brandt, Louis Stettner, Richard Avedon, Helmut Newton, Jean Loup Sieff, Willy Ronis, Nobuyoshi Araki, Edouard Boubat, Vivian Maier, Claude Nori, Bernard Plossu, Ferdinando Scianna, Herb Ritts, Saul Leiter, Daido Moriyama, Sally Mann, Herbert List, Robert Doisneau, Brassai, Edward weston et bien d’autres encore…

Quelques citations qui me parlent :
« L’errance n’est ni le voyage ni la promenade mais cette expérience du monde qui renvoie à une question essentielle : qu’est-ce que je fais là ? Pourquoi ici plutôt qu’ailleurs ? Comment vivre le plus longtemps possible dans le présent, c’est-à-dire être heureux ? Comment se regarder, s’accepter ? Qu’est-ce que je suis, qu’est-ce que je vaux, quel est mon regard ? » Raymond Depardon

« Cela fait partie du travail du photographe de voir plus intensément que la plupart des gens. Il doit avoir et garder en lui quelque chose de la réceptivité de l’enfant qui regarde le monde pour la première fois ou du voyageur qui pénètre dans un pays étrange. » Bill Brandt